Très riche, voire trop ! C’est en partie notre responsabilité, et je suis pour ma part inscrit à de très nombreuses listes de diffusion. J’essaie de vérifier régulièrement la pertinence des newsletters et d’opérer un nettoyage régulier. Les sources d’information que je préfère sont celles qui répondent à l’attente initiale tout en proposant d’aller plus loin – par le niveau de détail, ou un point de vue différent.
Le premier moyen est Google et les mots-clés, je regarde d’abord ce qui est proposé dans les différents formats – textes, vidéos, tutos… Par ailleurs je sollicite mon cercle de connaissances, en ciblant les personnes dont c’est le domaine de compétences.
C’est relativement rare. D’abord, du fait de mon métier, qui consiste à aider mes clients à prendre des décisions. Cela peut m’arriver quand je sors de ma zone de confort, sur un sujet nouveau par exemple. Je n’attends pas d’arguments précis pour orienter mon choix, mais plutôt que l’on qualifie ma démarche, que l’on confirme la direction envisagée.
Je ne suis pas particulièrement enclin à cela, aussi prestigieuse soit la marque. Si je n’ai pas le temps de creuser pour constater ce qui est dit, écrit, sur ce prestataire, je peux être amené à m’adresser à mes cercles professionnels. Il me paraît important de disposer d’éléments de preuve.
Tous les jours, Le Monde Informatique et Informatique News. Je consulte régulièrement MagIT, TechTarget, et un média très spécifique à mon métier, Storage Swiss, sur le stockage de data.
Nous tentons de répondre à ces questions à la lumière de cette étude et des réponses des experts présents à la table ronde organisée lors de l’événement de restitution.
Le BtoB nécessite une vision différente du marketing et de la communication. Celle qui rapproche la Brand au Business ; l’émotionnel du rationnel ; le sens des messages à l’activation des cibles.
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Nous vous souhaitons une bonne lecture.
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